Prends une gorgée de thé

Prenez une théière.

Imaginez prendre une gorgée d'une théière chaude.

Lorsque vous prenez cette première gorgée,

quel type de thé imaginez-vous boire ?

Est-il léger ?

Amer ?

Doux ?

Était-ce une délicate infusion de camomille et de miel ?

Apaisant vos sens avec sa douceur délicate ?

Car dans un monde transformé par une pandémie,

une théière est devenue un sanctuaire.

Sa chaleur nous a embrassés,

un refuge de la réalité.

Tout au long de la pandémie,

nos vies ont été transformées de manière imprévisible.

Dans ce moment tranquille,

les rêves se tissent dans la réalité.

Les rêves s'entremêlent avec la réalité,

une tapisserie tissée d'espoir et de difficultés.

Alors, avez-vous rêvé d'un rêve ?

Parce que nous l'avons fait.

Avez-vous déjà songé à la façon dont une pandémie nous a tous changés ?

Pour le meilleur ou pour le pire,

tout dépend.

À travers des paysages numériques,

traversant des océans.

Nous avons trouvé du réconfort dans de nouvelles amitiés provenant de coins du monde que nous n'aurions jamais explorés autrement.

De nouvelles amitiés ont fleuri,

transcendant les frontières,

défiant les océans.

Des océans ont été traversés,

non seulement en miles mais en expériences partagées.

Nous avons navigué sur ce territoire inexploré,

comment était le vôtre ?

Le nôtre était sauvage.

Notre voyage partagé était sauvage et indompté.

Certains disent parfois qu'il faut dix ans pour avoir cette année qui change votre vie,

la nôtre l'a fait.

Permettez-moi de vous raconter notre histoire pour "Créer Ensemble".

et vous pouvez décider de ce que vous en pensez.

Dans les Jérusalems d'autrefois, une histoire se déroule,

De conflits et de chagrins, des histoires souvent racontées.

Dans des terres où Byzance régnait jadis,

L'ONU est intervenue, mais les deux n'ont pas obéi.

Les rêves des Palestiniens refusés, ils pleuraient,

Alors que la puissance d'Israël emportait le cœur de la ville.

Colonisés et occupés, ils soupiraient,

Un conflit profond, où la paix avait longtemps été refusée.

Mais est-ce juste, ce chemin que nous suivons,

Où l'innocence et l'espoir sont laissés pour morts ?

Dans les guerres et les luttes, pourquoi cela doit-il être,

Que les femmes et les enfants supportent la brutalité ?

Pour le pouvoir, les hommes en haut lieu complotent,

Ils monopolisent une nation, leur rêve égoïste.

Pourtant, à la fin, ce sont les gens qui paient,

Leurs corps, les champs de bataille, dans la mêlée.

Toutes les vies comptent, le monde devrait le savoir,

Au milieu du conflit, que la compassion coule.

Pourquoi choisir un camp, quand l'humanité est en jeu ?

Au nom de la paix, que l'amour s'éveille.

Religion, guerre, ils changent l'âme,

Accepter la mort, un lourd tribut.

Qui a raison, qui a tort, est-ce important maintenant ?

Quand ce sont vos proches, les larmes sur leur front.

Pourquoi jouer à ces jeux, ces combats sans sens,

Pour quoi, à la fin, cherchons-nous des droits ?

Est-ce que ça en vaut la peine, cette lutte interminable,

Échanger des vies précieuses contre une vie creuse ?

Renverser la terreur, qu'est-ce qui reste alors ?

Les actions passées apportent-elles maintenant la rédemption ?

Dans la cité ancienne de Jérusalem, dans sa grâce antique,

Trouvons un moyen de guérir et d'étreindre.

Dans les terres anciennes où les ombres tombent,

Une histoire se dévoile, un appel tragique.

Depuis le festival d'Isarael, un cri,

Les échos de la guerre peignent le ciel.

Hama, Gaza, histoires anciennes,

Des histoires de douleur, non racontées.

Soixante-dix ans de misère opprimée,

Dans la bande de Gaza, une amère bataille.

En '48, la cruelle danse de la guerre,

Le cœur d'un père, une chance volée.

Témoin des horreurs, cruelles et viles,

Les siens, son amour, le monde profanent.

Des femmes courageuses et fortes de Téhéran,

Aux jours actuels de la chanson triste.

Jérusalem, une terre disputée,

Dans les sables changeants, ils tiennent bon.

Le décret de l'ONU, un domaine partagé,

Mais la Palestine, ils ont méprisé.

La puissance d'Israël, ils ont saisi la récompense,

Colonisés sous des cieux brûlants.

Est-ce le coût que nous devons endurer,

Une révolution, une douleur obscure ?

Les actes d'un gouvernement, la facture d'un citoyen,

Une question qui ronge chaque âme.

Des corps ravagés, des cœurs mis à nu,

L'innocence perdue dans le piège cruel de la guerre.

Le cri des enfants, l'appel silencieux,

Est-ce le monde que nous choisissons de voir ?

La connaissance manie son puissant pouvoir,

Mais encore, la vérité échappe à notre vue.

Dans le cruel jeu de la guerre, les règles sont tordues,

L'innocence paie le loyer funeste.

Toutes les vies comptent, le cri rassembleur,

Pourtant, encore, les innocents souffrent et meurent.

Pour le pouvoir et la cupidité, le cycle se répète,

Comme le battement amer de l'histoire.

Au nom de la foi, au nom de la cupidité,

L'âme de l'humanité, elle commence à saigner.

Qui a raison ? Qui a tort ? Est-ce vraiment important ?

Quand les cœurs sont déchirés, qu'y a-t-il à briser ?

Imaginez si c'étaient vos proches,

Pris dans le filet de la haine.

Un corps sans vie, une victoire creuse,

Est-ce la récompense que nous cherchons à obtenir ?

Terroristes, tyrans, étiquettes que nous jetons,

Mais quelle est la vérité qui se cache en dessous ?

Quand tout est dit et que les batailles sont remportées,

Que reste-t-il quand le jour est fini ?

Alors réfléchissons, méditons,

Sur des vies déchirées, des vies détruites.

Face à la lutte, n'oublions pas,

L'appel à la paix, le duo de l'âme.

Dans les ombres profondes, où la noirceur réside,

Où règne le chaos et l'agitation enfle,

Les espoirs de paix dans les cœurs s'épaississent,

Pour ceux qui répandent la douleur, puissent-ils goûter l'amertume.

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